J'ai lu ce roman dans le cadre du Book Club de Juin sur le forum Livraddict. Le thème sélectionné était l'Irlande, ses contes et légendes. Autant dire tout de suite que ce dernier me tentait énormément. En effet, c'est un pays mais également une culture qui m'attire beaucoup. C'était donc une occasion pour voyager. Le livre sélectionné était Les dames à la licorne de René Barjavel et Olenka de Veer. Si la deuxième m'est totalement inconnu, ce n'est pas le cas du premier. J'ai déjà pu le découvrir à travers Le grand secret. Je ne l'avais pas spécialement apprécié. Toutefois, j'avoue que le résumé m'a bien tenté.
En commençant ce roman, je ne savais pas trop à quoi m'attendre. En lisant la quatrième de couverture, je m'attendais véritablement à une atmosphère pleine de mystères et de légendes. J'avoue que de ce point de vue, je suis plutôt déçue. A part au début où la légende de la licorne était évoquée, le reste m'a moins enchanté. Je pense que je suis totalement passée à côté de ce roman. En effet, j'ai lu beaucoup de chroniques de personnes ayant globalement apprécié cette lecture. L'histoire ne m'a pas du tout passionné du tout et cela, dès le départ. J'ai difficilement passé le cap des cent pages et encore plus la moitié du livre. C'est la raison pour laquelle j'ai, finalement, abandonné ce roman.
Par ailleurs, quand je lisais différents avis sur la blogosphère, un certain nombre soulignait le style des deux auteurs et il le qualifiait le plus souvent de poétique. Ce n'est vraiment pas cet adjectif que j'utiliserai. En effet, pour ma part, j'ai trouvé qu'il était plutôt lourd. J'ai eu de grandes difficultés à avancer. Il y avait quelques longueurs qui m'ont véritablement ennuyé.
En conclusion, je dirai que je suis vraiment déçue par ce roman. J'attendais vraiment beaucoup de cette lecture et je pensais vraiment que j'allais l'apprécier. Le résumé était vraiment sympathique et promettait un agréable moment et un dépaysement complet. Ce fut laborieux et j'étais vraiment soulagée de pouvoir passer à un autre livre.
